REVUE DE PRESSE

LA SOLITUDE DU COUREUR DE FOND d'Allan Sillitoe

Colin vincent lykyUn challenge inouï, Patrick Mons donne corps et vie à Colin Smith ! Bernard Thomasson, France Info

L'envol du voleur ! Les recordmen du théâtre sportif, Jacques Bonnaffé et Sami Frey, peuvent se rhabiller. Ils sont dépassés ! Patrick Mons va plus loin dans l'engagement et surtout incarne très bien le prolétaire blessé, courant pour lui-même et contre le mensonge idéologique. Comme est belle, cette course sur quelques mètres carrés ! Gilles Costaz  France Inter Webtheâtre

Le corps et l'esprit, le souffle et la concentration. Pierre lepidi,  Le Monde

Une fabuleuse leçon de théâtre. L'immense acteur -metteur en scène, Patrick Mons transfigure les mots et donne au personnage une ampleur shakespearienne ! City News

La beauté du geste. On sort convaincu par les choix de mise en scène, secoué par la performance. Laura Plas, Les Trois coups

 

 

TARTUFFE mise en scène Joséphine Dechenaud

Tartuffe 021

On ne parle même pas du trio Joséphine Dechenaud, Patrick Mons, Bertrand Saint, qui sont des bêtes de scène. On pourrait se déplacer seulement pour eux.  Laura Plas. Les trois coups

(...) Quant à Orgon, Patrick Mons en fait un remarquable chef de famille, sûr de lui mais fragilisé par ses aveuglements. Le manteau bleu marine et la barbe légère font de lui un représentant de nos fonctionnaires  bien assis. Seul, le regard de ses yeux clairs révèle peut-être la confusion de sa perception de la réalité et des êtres (...) Véronique Hotte. Théâtre du Blog

 

 

LES FUMEES DU PAPE, Dario FO

Marche bien cette bicycletteUn spectacle burlesque, à l’inspiration fellinienne.  Télérama

Patrick Mons nous époustoufle par sa prestation d’acteur, jouant tour à tour l’ensemble des protagonistes. Son acolyte Jean-Luc Larive l’accompagne à l’accordéon diatonique, conférant à l’ensemble des touches tantôt burlesques, tantôt onriques. On pleure... de rire.  Cassandre Hors Champs

Ça ne va pas plaire à tout le monde mais moi, ça m’enchante ! José Arthur France InterIl etait la foi

Patrick Mons jubile à enchaîner les personnages. La magie opère et on sort de la salle avec une impression de joie qu’on aimerait ne jamais perdre. Pariscope

Avec une aisance déconcertante, Patrick Mons passe d’un personnage à l’autre, sans que cela nuise à la compréhension du spectacle... pas très catholique, mais savoureusement drôle. Amen ! La Théatrothèque

 

VARIATIONS SUR LE CANARD, David Mamet

 

Variations sur le canard 2Ce qui est sûr, c’est qu’il faut un véhicule de luxe pour nous embarquer. Autrement dit : de grands acteurs !

C’est le cas, ici. Patrick Mons, distingué, droit dans son personnage, distille ses répliques comme autant de gourmandises.

Charles Tordjman, grand gourmet verbal devant l’Éternel, susurre sensuellement les aphorismes de Mamet avec une discrète voracité. 

Vincent Gambier Les trois coups 

 

 

HUGOFFENBACH, d'après Victor Hugo et Jacques Offenbach

/Un beau spectacle patriotique et républicain, enlevé et grave, mélodieux et acerbe, mêlant adroitement les œuvres lyriques de Jacques Offenbach et les écrits de Victor Hugo en exil. Le Dauphiné Libéré

La confrontation est inattendue : d’un côté, Jacques Offenbach et ses opérettes légères, de l’autre, Victor Hugo et ses écrits engagés. Le metteur en scène Patrick Mons dépasse les clichés. Musiques et textes se répondent de manière très pertinente. La Terrasse

Les textes de l’un alternent avec les chansons de l’autre, se répondent, se complètent de façon très habile et réjouissante. Un spectacle très réussi et très applaudi !  Lettres Express

 

 

LE RODEUR, Enzo Cormann

Prof ras bisRegard demain bisSilencieux comme le vol du faucon dans le ciel, le Rôdeur hante les rues, hante nos nuits. Un travail superbe tant de la part de Patrick Mons que celle de Charles Lee. On ne peut imaginer mieux servir un texte de Cormann. Mitzi Gerber, Dauphine Libéré

Quelque chose qui vient, qui naît on ne sait pas vraiment d’où, comme une fureur sauvage mélangée à beaucoup de douceur apparente. Interprétation absolue de Patrick Mons, jouant comme un virtuose sur les pauses et les silences, nous déposant au plein cœur de l’hallucination parfaite. Jean-Philippe Faure, Agora pièces.

 Recueil d'impressions : A la fin, nous avons tous mis un certain temps à nous lever de nos sièges / Le noir. L'Acteur. Le Texte, la folie qui s'installe. Est-ce nous ? Bravo pour ce jeu à la limite / Son regard n'est pas prêt de vous quitter / Ames sensibles s'abstenir, car cette histoire de meurtre, magnifiquement portée par le comédien,n'est pas à mettre entre toutes les oreilles / Etre seul et "habité". Entrer dans la tête de l'autre, partager sa folie... C'est un cadeau. Une présence magnifique / Le rôdeur, il est pas confortable du tout. Mais alors pas du tout. Nous nous retrouvons scotchés à notre siège, hypnotisés par un regard qui cille à peine, tendus vers cette histoire en pièces, à zoomer sur un homme aux phrases pleines et fortes, à la férocité aiguisée. On en sort comme après un long vol, sonné, et à bout de souffle. 

 

PETITES HISTOIRES DU SOIR d'après Dino Buzzati

De brefs récits sur des petits riens, un décor sobre et deux très grands comédiens ... Grâce au talent des deux acteurs, deux conteurs jonglant avec dextérité entre les rôles de personnages et ceux des narrateurs, les différentes scènes deviennent un même et coulant récit, celui de la bizarrerie de la vie. Marie Barral, Les Trois Coups

 

 

 

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