- Comédien, Patrick Mons a intégré le travail d'un grand nombre de compagnies sous la direction de Charles Lee (Central school of speech and drama), Nicolas Lormeau (de la Comédie Française), Patrick Blandin, Laurent Vercelletto, Joséphine Dechenaud, Eric Girard, Bernard Schmit, …. Il a interprété des textes de David Mamet, Enzo Corman, Hugo Claus, Roland Dubillard, Feydeau, Sylvaine Zabororosky, Courteline, Jean Noël Fenwick, Molière, Beaumarchais, …
- Il a mis en scène des textes de Alan Sillitoe, Dino Buzzati, Dario Fo et Enzo Cormann avec la Cie La Lune et l'Océan qu'il a fondée.
- Il a écrit des pièces de théâtre : "Olympe et moi" sur la vie et l'oeuvre d'Olympe de Gouges avec Véronique Ataly, "Les saisons du couloir" pièce en alexandrins et en chansons en cours de création, "Un strapontin pour la lune" paru aux éditions L'Harmattanet "Les maladroits" créé à la Maison de la Culture Le Corbusier.
- Il a adapté des oeuvres de Victor Hugo, Dino Buzzati, Dario Fo, Offenbach et Alan Sillitoe.
Sa dernière création en tant qu'auteur et metteur en scène : "Olympe et moi", avec Véronique Ataly a été à l'affiche du théâtre LES CORPS SAINTS, lors du Festival d'Avignon 2022, reprise en mai 2023 au festival international Femartau Kosovo.
Au cinéma il a tourné sous la direction de Christophe Devauchelle, Philippe Robert, Claude Morieras, Alain Dumas...
"LA SOLITUDE DU COUREUR DE FOND" d'Alan Sillitoe fait sa rentrée parisienne au FUNAMBULE DE MONTMARTRE pour une cinquantaine de dates à partir du 5 septembre 2024.
Esaïe Cid, directeur musical, incomparable saxophoniste de jazz, cher et noble ami est le coeur battant de Colin Smith et lui ouvre la voix/voie !
"Adapté du roman d’Alan Sillitoe, Patrick Mons fait corps à cette révolte du prolétariat. Il fait front jusqu’à la ligne d’arrivée. Une performance magistrale, éprise de sueur et de liberté. L’esprit des Phryges vaincra en cette rentrée." Yohann Marchand, Francenetinfos
"La pièce La Solitude du coureur de fond est à couper le souffle : bravo pour cette performance solo ! C’est un soliloque qui tient le spectateur en haleine avec du jazz (divin Art Pepper) et des vidéos en noir et blanc en toile de fond par intermittence. La course à pied est au départ, pour le jeune délinquant Colin Smith campé par Patrick Mons (époustouflant !), une voie imposée par le directeur de l’établissement pénitentiaire. Ce dernier lui offre ou plutôt lui impose, ayant détecté son talent pour cette discipline sportive, d’y exceller pour valoriser son institution et satisfaire son orgueil. La course à pied est pour Colin Smith, qui s’y prête avec une obéissance se révélant de plus en plus friable, un prétexte pour parcourir aussi les pistes de sa mémoire. Ainsi, il nous narre, en dépit de l’effort physique des événements marquants de sa vie (de son enfance jusqu’à son arrestation), le tout raconté avec des tonalités différentes : on peut passer du rire au drame. Colin Smith plonge au plus profond de lui-même pour trouver l’énergie nécessaire à ce que l’on attend de lui mais aussi pour s’évader mentalement : les réminiscences suintent tout autant que la transpiration. La Solitude du coureur de fond est à voir. La pièce démontre qu’en chaque être, quel que soit son parcours, demeure un homme bien. Éric FrançonnetA voir, à lire
PRESSE
“ Les recordmen du théâtre sportif, Jacques Bonnaffé dans “54x13” de Jean-Bernard Pouy et Sami Frey dans “Je me souviens” de Georges Perec peuvent se rhabiller. Ils sont dépassés ! Patrick Mons va plus loin dans l’engagement, a de forts beaux déplacements - comme s’il était filmé, cadré, si l’image bougeait comme à l’écran -, surtout il incarne très bien le prolétaire blessé, courant pour lui-même et contre le mensonge idéologique. Comme est belle cette course sur quelques mètres carrés” Gilles Costaz, FRANCE INTER
“ Un challenge inouï ! Non seulement Patrick Mons donne corps et vie à Colin Smith, mais en plus, il fait surgir par son jeu corporel les ombres de grands coureurs comme Emil Zatopek dans sa souffrance physique, Abebe Bikila l’Éthiopien aux pieds nus, ou Wilma Rudolph.” Bernard Thomasson, FRANCE INFO
“ Dans cette course au bout de lui-même, l'homme se dévoile, se construit, dans une fabuleuse leçon de théâtre ! ” CITY NEWS
“ Une interprétation saisissante entre introspection et critique de l’establishment. Patrick Mons livre une performance scénique époustouflante agrémenté d’un jazz majestueux.” Steve Riviere, LA PROVENCE (Coup de cœur de la rédaction)
“ Nous ressortons de ce spectacle éprouvés, chamboulés par une expérience artistique et sensorielle inédite.” ARTISTIK REZO
“La performance est époustouflante, la dernière ligne droite est inoubliable.” Florian Gaudin, ATHLETISME MAGAZINE
“ Il est comme un boxeur qui assène les mots droits devant. Ce qu’il aime c’est courir magnifiquement et nous faire partager la vraie victoire de Colin Smith, le coureur de fond solitaire.” Claude Kraif, LA REVUE DU SPECTACLE
“ On sort éveillé par la pertinence des choix de mise en scène, secoué par la performance physique de Patrick Mons.” Laura Plas, LES TROIS COUPS
LES NOUVEAUX DIABLOGUES et autres inventions à deux voix de Roland DUBILLARD
avec Jean-Marie Lecoq et Patrick MONS, Festival d'Avignon 2023 au théâtre des Corps Saints
Un challenge inouï, Patrick Mons donne corps et vie à Colin Smith ! Bernard Thomasson, France Info
L'envol du voleur ! Les recordmen du théâtre sportif, Jacques Bonnaffé et Sami Frey, peuvent se rhabiller. Ils sont dépassés ! Patrick Mons va plus loin dans l'engagement et surtout incarne très bien le prolétaire blessé, courant pour lui-même et contre le mensonge idéologique. Comme est belle, cette course sur quelques mètres carrés ! Gilles Costaz France Inter Webtheâtre
Le corps et l'esprit, le souffle et la concentration. Pierre lepidi,Le Monde
Une fabuleuse leçon de théâtre. L'immense acteur -metteur en scène, Patrick Mons transfigure les mots et donne au personnage une ampleur shakespearienne ! City News
La beauté du geste. On sort convaincu par les choix de mise en scène, secoué par la performance. Laura Plas, Les Trois coups
TARTUFFE mise en scène Joséphine Dechenaud
On ne parle même pas du trio Joséphine Dechenaud, Patrick Mons, Bertrand Saint, qui sont des bêtes de scène. On pourrait se déplacer seulement pour eux. Laura Plas. Les trois coups
(...) Quant à Orgon, Patrick Mons en fait un remarquable chef de famille, sûr de lui mais fragilisé par ses aveuglements. Le manteau bleu marine et la barbe légère font de lui un représentant de nos fonctionnaires bien assis. Seul, le regard de ses yeux clairs révèle peut-être la confusion de sa perception de la réalité et des êtres (...) Véronique Hotte. Théâtre du Blog
LES FUMEES DU PAPE, Dario FO
Un spectacle burlesque, à l’inspiration fellinienne.Télérama
Patrick Mons nous époustoufle par sa prestation d’acteur, jouant tour à tour l’ensemble des protagonistes. Son acolyte Jean-Luc Larive l’accompagne à l’accordéon diatonique, conférant à l’ensemble des touches tantôt burlesques, tantôt onriques. On pleure... de rire. CassandreHors Champs
Ça ne va pas plaire à tout le monde mais moi, ça m’enchante ! José Arthur France Inter
Patrick Mons jubile à enchaîner les personnages. La magie opère et on sort de la salle avec une impression de joie qu’on aimerait ne jamais perdre. Pariscope
Avec une aisance déconcertante, Patrick Mons passe d’un personnage à l’autre, sans que cela nuise à la compréhension du spectacle... pas très catholique, mais savoureusement drôle. Amen !La Théatrothèque
VARIATIONS SUR LE CANARD, David Mamet
Ce qui est sûr, c’est qu’il faut un véhicule de luxe pour nous embarquer. Autrement dit : de grands acteurs !
C’est le cas, ici. Patrick Mons, distingué, droit dans son personnage, distille ses répliques comme autant de gourmandises.
Charles Tordjman, grand gourmet verbal devant l’Éternel, susurre sensuellement les aphorismes de Mamet avec une discrète voracité.
HUGOFFENBACH, d'après Victor Hugo et Jacques Offenbach
Un beau spectacle patriotique et républicain, enlevé et grave, mélodieux et acerbe, mêlant adroitement les œuvres lyriques de Jacques Offenbach et les écrits de Victor Hugo en exil. Le Dauphiné Libéré
La confrontation est inattendue : d’un côté, Jacques Offenbach et ses opérettes légères, de l’autre, Victor Hugo et ses écrits engagés. Le metteur en scène Patrick Mons dépasse les clichés. Musiques et textes se répondent de manière très pertinente. La Terrasse
Les textes de l’un alternent avec les chansons de l’autre, se répondent, se complètent de façon très habile et réjouissante. Un spectacle très réussi et très applaudi ! Lettres Express
LE RODEUR, Enzo Cormann
Silencieux comme le vol du faucon dans le ciel, le Rôdeur hante les rues, hante nos nuits. Un travail superbe tant de la part de Patrick Mons que celle de Charles Lee. On ne peut imaginer mieux servir un texte de Cormann. Mitzi Gerber, Dauphine Libéré
Quelque chose qui vient, qui naît on ne sait pas vraiment d’où, comme une fureur sauvage mélangée à beaucoup de douceur apparente. Interprétation absolue de Patrick Mons, jouant comme un virtuose sur les pauses et les silences, nous déposant au plein cœur de l’hallucination parfaite. Jean-Philippe Faure, Agora pièces.
Recueil d'impressions : Le noir. L'Acteur. Le Texte, la folie qui s'installe. Est-ce nous ? Bravo pour ce jeu à la limite / Ames sensibles s'abstenir, car cette histoire de meurtre, magnifiquement portée par le comédien, n'est pas à mettre entre toutes les oreilles / Etre seul et "habité". Entrer dans la tête de l'autre, partager sa folie... C'est un cadeau. Une présence magnifique / Le rôdeur, il est pas confortable du tout. Mais alors pas du tout. Nous nous retrouvons scotchés à notre siège, hypnotisés par un regard qui cille à peine, tendus vers cette histoire en pièces, à zoomer sur un homme aux phrases pleines et fortes, à la férocité aiguisée. On en sort comme après un long vol, sonné, et à bout de souffle.
PETITES HISTOIRES DU SOIR d'après Dino Buzzati
De brefs récits sur des petits riens, un décor sobre et deux très grandscomédiens ... Grâce au talent des deux acteurs, deux conteurs jonglant avec dextérité entre les rôles de personnages et ceux des narrateurs, les différentes scènes deviennent un même et coulant récit, celui de la bizarrerie de la vie.Marie Barral, Les Trois Coups